« La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à ceux qui sont sans repos, elle console ceux qui pleurent » Pablo Casals

« La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à ceux qui sont sans repos, elle console ceux qui pleurent » (Pablo Casals).
Ces mots sonnent encore plus fort dans la période que nous traversons, avec ses doutes et ses inquiétudes. Plus que jamais, il faut défendre la musique, parce qu’elle est une des composantes de ce qui fait de notre société une civilisation. Alors, tous au concert !
Depuis 1948, Besançon accueille un des plus grands festivals français, porté depuis les origines par une association, soutenu par ses partenaires publics et privés, souhaitant vous proposer une grande manifestation à la hauteur de son prestigieux passé, mais aussi innovante et variée.

Cet automne, le Festival est de nouveau le creuset de rencontres d’artistes venus de tous les horizons. Du nord, les prestigieuses formations de Liège, de Baden-Baden ou de Bruges avec Anima Eterna. De l’est, l’orchestre de Bienne Soleure et l’ensemble de Bâle. Au sud, les lyonnais des Percussions Claviers, des Solistes de Lyon et le jeune orchestre Ose ! Enfin, venues de l’ouest, les voix d’Arsys Bourgogne ; sans oublier nos amis de l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté. Le Festival invite également des solistes renommés tels Renaud Capuçon, Isabelle Druet, Elena Bashkirova, Tedi Papavrami, et des jeunes talents comme les pianistes François Dumont, Vincent Larderet ou le Trio Karenine.
Au programme, plus de vingt concerts axés sur le grand répertoire symphonique, avec des focus sur Anton Dvořák, Maurice Ravel et notre compositeur en résidence Philippe Hersant. Musique de chambre, musique vocale, récital, concerts gratuits (ouverture et « boucle musicale » sur le Doubs), spectacle musical pour les familles et création théâtrale avec le CDN complètent le programme.

Le Festival investit à Besançon ses lieux historiques (Théâtre Ledoux, Kursaal, Cathédrale), mais aussi plus récents (Cité des arts, et CDN pour une création), et en Franche-Comté, Belfort, Arc-et-Senans ainsi que les basiliques de Dole et de Luxeuil. Si le cœur du Festival reste classique, les soirées bisontines résonneront aussi de saveurs brésiliennes, africaines, chinoises, klezmer, portugaises, mais également jazz lors des « afters » du Pianos-bar, espace de convivialité éphémère du Festival.

Jean-Michel Mathé, Directeur
Et toute l’équipe du Festival

Brochure de la 69e édition
Bilan de la 69e édition
Dossier de presse 2016
La médiathèque de l'édition 2016